mardi, mai 12, 2009

Meurtre d'une facilité singulière

La mort le guette.
Il ne s'en doute même pas
Et marche vers son trépas.
Je l'aurais coûte que coûte!

Le cible est trop facile.
Il ne s'en doute même pas...

Je lui annonce ma présence,
Je me présente à lui.
Il ne s'oppose pas et pense.
Il me demande qui s'ennuira, qui?

Tous ceux qui le voudront.
Toux ceux qui tiennent à ta médiocre vie.
Tous ceux qui se sont attachés.
Tous ceux qui te chercheront...

Il pense, pense, toujours...
Il ne cesse plus et s'arrête.
Puis recommence, un cycle, toujours.
Te plairaît-elle cette quête?

Oui
Non
Oui
Non
Je sais pas!

La seule arme que tu possèdes contre moi,
La peur...
C'est la seule chose qui te retiens, toi.
Non? (l'air moqueur)

Si tu restes, si je ne peux t'ammener,
C'est grâce à cette peur.
Débarasses-toi en, et je partirai...
Avec toi, bien sûr, sans torpeur.

Elle me retient,
Elle me garde ici
Ma peur...
Toi, vous...

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